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28.01.2025 - N° 1.887 Que ferait un Javier Milei en France ? ChatGPT répond sans filtre Par Élodie Messéant
 Diplômée en droit privé et en philosophie du droit, Élodie Messéant a travaillé dans le domaine de l'investissement et des cryptomonnaies. Chargée d'études à l'IREF, elle écrit régulièrement dans la presse depuis 2017.  La France coule. Lentement mais sûrement. Dette colossale, Etat obèse, économie asphyxiée sous les taxes, et tout ce petit monde politique qui continue de jouer aux réformettes comme si de rien n’était.. Pendant ce temps, en Argentine, un certain Javier Milei a décidé d’envoyer valser la bureaucratie et les totems socialisants pour tenter un vrai redressement. Alors, si Milei était en France, que ferait-il ? Nous avons demandé à ChatGPT de comparer les réformes qu’appliquerait un Javier Milei en France et celles défendues par la classe politique actuelle. L’État obèse : la cure d’amaigrissement radicale Milei débarque et coupe dans le gras. Moins de ministères, moins d’agences inutiles, fin des aides sociales à tout-va. Il vire les subventions aux entreprises et aux lubies écologistes subventionnées, démonte les rentes d’État et s’attaque aux privilèges acquis. Pas de demi-mesure. En face, la droite socialiste fait semblant de tailler, mais garde l’État-providence sous perfusion. La gauche socialiste ? Elle veut encore plus d’État, encore plus de dépenses, encore plus d’impôts. Différence clé : Milei tranche dans le vif. La droite socialiste amuse la galerie avec des coupes cosmétiques. La gauche socialiste assume son délire collectiviste. Fiscalité : fini le racket étatique Flat tax pour tout le monde. Simple, efficace, clair. Exit l’IFI, baisse massive de l’impôt sur les sociétés. Moins de taxes sur l’énergie et le carburant, histoire d’arrêter d’étrangler les entreprises et les particuliers. Pendant ce temps, la droite socialiste promet de baisser les impôts, mais ne le fait jamais vraiment. La gauche socialiste veut taxer les riches jusqu’à l’os et s’étonne quand ils se barrent. Différence clé : Milei veut une fiscalité minimale. En France, tout le monde adore redistribuer l’argent des autres. Droit du travail : moins de paperasse, plus de jobs Adieu SMIC, bonjour liberté contractuelle. Licenciements simplifiés = embauches facilitées. Fini les syndicats qui bloquent tout. La droite socialiste tripote un peu l’assurance chômage mais n’ose pas toucher aux « acquis sociaux ». La gauche socialiste, elle, rêve d’un SMIC toujours plus haut et de toujours plus de réglementations. Différence clé : Milei libéralise totalement, là où les politiciens français préfèrent ne pas se fâcher avec les syndicats. Privatisations : l’État n’est pas un chef d’entreprise SNCF, EDF, hop, vendus. Concurrence totale dans les secteurs monopolisés. Médias publics ? Fin des subventions, privatisation. Santé, éducation ? Plus d’ouverture au privé, fin du monopole de l’État. La droite socialiste vend quelques miettes mais garde le contrôle. La gauche socialiste s’accroche à tout et hurle au scandale dès qu’on parle de privatiser. Différence clé : En France, droite et gauche socialistes sont accros au service public. Milei, lui, fait tout sauter. Immigration et sécurité : du concret, pas des discours Fini les aides aux immigrés, y compris en situation régulière (RSA, protection maladie, logement, allocations familiales, etc.). Exécution des OQTF. Expulsions systématiques en cas d’infraction. La droite socialiste fait des discours musclés mais garde les aides sociales. La gauche socialiste veut toujours plus de régularisations et d’allocations. Différence clé : Milei agit, les politiciens français font des déclarations. En politique, nous avons toujours le choix, nous dit ChatGPT : continuer dans la même direction en espérant un miracle, ou envoyer valser le modèle actuel et tenter le grand ménage.
Milei, lui, n’attendrait pas. ______________
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