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28.11.2024 - N° 1.827

Jacques Benveniste :
« la ressource en eau est inépuisable »

Par Manuel Gomez

Manuel Gomez est né à Alger (Bab-el-Oued) le 17 novembre 1931. Engagé par Albert Camus, à l'âge de 15 ans, comme pigiste à "Alger Républicain", Manuel Gomez a poursuivi sa carrière comme rédacteur dans les quotidiens "La Dépêche d'Algérie", puis à Paris à "L'Aurore" et "Paris-Turf. Il a été chef de rubrique au "Méridional" de Marseille. et rédacteur en chef de "Midi-Magazine" à Nice. Gomez a été le proche collaborateur de M. Georges Bidault, dernier président, après Jean Moulin, du Conseil National de la Résistance et dernier responsable de l'OAS, après l'arrestation du général Salan, et rédacteur en chef du Bulletin National du CNR/OAS "France Presse-Action" en 1961.

En avril 2023, j’insistais déjà sur le très grave problème humanitaire que pose le manque d’eau potable pour une partie importante de la population de notre planète et qui ne fera que s’amplifier dans les décennies à venir et j’indiquais que la « désalinisation » de l’eau de mer justifierait une facture de plus de 500 milliards sur une décennie.

Or un projet se dessine depuis quelques années : « Transformer l’air en eau potable ». Je ne sais pas si cela sera réalisable ou non, mais je m’étonne que les scientifiques et les gouvernements du monde entier semblent si peu s’y intéresser.
Jacques Benveniste, un Français installé à Grimaud, dans le département du Var, affirme que « la ressource en eau serait inépuisable », que l’eau pourrait tomber du ciel et qu’il pourrait embouteiller 100 000 litres d’eau par jour « dans la première usine mondiale d’embouteillage d’eau atmosphérique » installée sur une zone de 5000 m2.

Jacques Benveniste a reçu le Prix de l’innovation aux États-Unis en 2017 (Chambre de commerce franco-américaine de Miami en Floride).

Pour l’instant (en attente d’une certification de l’ARS) cette eau est utilisée par les camions-citernes de la commune pour arroser les espaces verts.

Il s’agirait d’un principe de régénération d’air, de captation de « Point de rosée » du taux d’humidité qui aboutirait à de l’eau buvable qui serait une alternative à la désalinisation de l’eau de mer et pourrait faire vivre toutes les populations du monde qui n’ont pas d’accès à l’eau potable.

Vrai ou faux, cela vaut la peine de s’y intéresser, c’est bien plus important que tout le reste du « Bla Bla » qui nous inonde quotidiennement et tout devrait être mis en œuvre pour aider ce projet « qui pourrait sauver l’humanité ».

Souvenons-nous de l’exemple de l’ingénieur Nicolas Tesla, inventeur du courant alternatif à la fin du 19e siècle :

« Dans l’atmosphère de la terre existe une zone tridimensionnelle d’environ 60 km, située à 80 km au-dessus de sa surface, à la frontière de l’ionosphère.

Cette zone, Tesla la baptisera plus tard ‘Cavité de Schuman’ ou ‘Résonance Schuman’.

Cette cavité fonctionne comme une caisse de résonance dans laquelle on peut transmettre de l’énergie électromagnétique d’une fréquence de 6 à 8 Hz (Hertz), sans aucune atténuation.

Ses mégawatts sont fournis par l’énergie générée par les éclairs qui se produisent plusieurs fois par seconde, partout dans le monde.

Tesla vient de découvrir une zone où l’électricité est non seulement naturelle, mais, en plus, inépuisable.

Elle pourrait être ainsi distribuée gratuitement à tous les habitants de la terre. »

Cela était impossible à réaliser à son époque, mais serait-ce le cas encore aujourd’hui ?

On veut, paraît-il, sauver la planète ! Alors, concentrons-nous sur des projets qui en valent la peine et non sur des rêves utopiques.

Le tout récent échec de la COP 29 en Azerbaïdjan (Quel choix stupide !) apporte justement de « l’eau » à mon moulin, si l’on peut dire !