Le Pape François a averti, jeudi 16 mai, que le changement climatique était devenu une « crise planétaire » et que des milliards de personnes étaient confrontées à un « risque extrêmement élevé de dévastation liée au climat ».

Dans un discours adressé aux participants d’un sommet sur le climat parrainé par le Vatican et intitulé « De la crise climatique à la résilience climatique », le souverain pontife a affirmé que les données sur le changement climatique « s’aggravent d’année en année », mettant « tous les êtres humains en grave danger ».

Le changement climatique, associé à la perte de biodiversité, à la dégradation de l’environnement, aux disparités mondiales et à l’insécurité alimentaire, constitue « une menace existentielle pour l’humanité, pour les autres êtres vivants et pour tous les écosystèmes », a déclaré le pape.

Les pays riches sont particulièrement responsables du réchauffement de la planète, a-t-il affirmé, car ils « produisent plus de la moitié des polluants qui retiennent la chaleur ».

Alors que les 46 pays les moins développés ne représentent qu’un pour cent des émissions mondiales de CO2, les pays du G20 sont responsables de 80 % de ces émissions.

Cela signifie que les pays les plus riches ont contracté une « dette écologique » envers les pays les plus pauvres, a proposé François, qui appelle à la restructuration et à la réduction de la dette, ainsi qu’à l’élaboration d’une « nouvelle charte financière mondiale d’ici à 2025 ».


Il a conclu en disant que « Nous devons agir d’urgence – d’urgence ! Parce que les enjeux ne pourraient pas être plus élevés ».

Ce discours alarmiste du pape sur le changement climatique fait écho à celui du Secrétaire exécutif des Nations unies pour le climat, Simon Stiell, qui a prévenu la semaine dernière que l’humanité n’avait plus que deux ans pour « sauver le monde » en procédant à des changements radicaux pour réduire le réchauffement de la planète.

“Qui a exactement deux ans pour sauver le monde ? Chaque habitant de cette planète », a déclaré M. Stiell.

« De plus en plus de personnes souhaitent une action en faveur du climat, dans toutes les sociétés et tous les courants politiques, en grande partie parce qu’elles ressentent les effets de la crise climatique dans leur vie quotidienne et dans le budget de leur ménage. »


Le Pape François déclare à l’émission 60 Minutes que le conservatisme est une « attitude suicidaire »

Au cours de son homélie, François le Coco a prêché que « le partage de la propriété n’est pas du communisme, mais du pur christianisme ».

Pourtant, le partage de la propriété est exactement la définition du communisme. En janvier 2022, le Pape François a expliqué aux autorités fiscales que la fiscalité était « un outil nécessaire à la redistribution des richesses ».

Rush Limbaugh avait raison en 2013 lorsqu’il a qualifié ce pape de marxiste.

Le pape François a travaillé sans relâche pour isoler les catholiques conservateurs au cours de son règne en tant que chef de l’Église catholique.

François continue de promouvoir des initiatives marxistes comme la législation sur le réchauffement climatique.

Il dénonce les frontières et a attaqué le Président Trump pour avoir défendu la frontière américaine contre l’invasion (d’immigrants illégaux).

Dans sa dernière interview avec 60 Minutes, dimanche 12 mai, le Pape François a ouvertement attaqué les conservateurs.

Il a déclaré à la journaliste gauchiste Norah O’Donnell que le conservatisme est « une attitude suicidaire ».

Qu’est-ce que cela veut dire ?

• Norah O’Donnell : « Il y a des évêques conservateurs aux États-Unis qui s’opposent à vos nouveaux efforts pour revisiter les enseignements et les traditions. Comment répondez-vous à leurs critiques ? »
• Le Pape François : « Vous utilisez un adjectif – “conservateur”. Un conservateur est quelqu’un qui s’accroche à quelque chose et ne veut pas voir au-delà. C’est une attitude suicidaire. Car c’est une chose de tenir compte de la tradition. De considérer les situations du passé. Mais c’en est une autre de s’enfermer dans une boîte dogmatique. »