Le CDC (le Centre pour le contrôle et la prévention des maladies) vient de publier une mise en garde inquiétante contre le danger de propagation de la maladie à méningocoques.

Que doit en penser le public ?

Apparemment, les responsables du CDC ont oublié quelques truismes que tout le monde connaît.

Tout d’abord, il y a l’histoire du garçon qui a crié “Au loup !” pour faire une blague aux villageois.

Personne ne l’a cru lorsque le loup est finalement arrivé, est entré dans la ville (et l’a mangé).

Le CDC est ce garçon. Ensuite, il y a le dicton américain qui a fait ses preuves, « trompe-moi une fois, honte à toi ; trompe-moi deux fois, honte à moi ».

Comment le public doit-il réagir lorsqu’une agence fédérale présumée digne de confiance comme le CDC le trompe intentionnellement deux fois, trois fois, voire plus ?

Tout d’abord, il y a eu l’escroquerie du COVID, qui devrait probablement être comptabilisée comme au moins six tromperies du public par l’Establishment médical de Washington.

1. Ils ont nié avec véhémence que le virus provenait du laboratoire de Wuhan, sauf que c’était probablement le cas.
2. Le Dr Anthony Fauci a assuré au Congrès que les NIH ( NdT: Les National Institutes of Health sont des institutions gouvernementales des États-Unis qui s’occupent de la recherche médicale et biomédicale) ne soutenaient pas la recherche sur le gain de fonction dans le laboratoire de Wuhan, en Chine, où le problème est apparu, jusqu’à ce que les documents financiers prouvent qu’il “n’était pas honnête“.
3. Le COVID a été présenté comme une menace existentielle pour les 320 millions d’Américains, alors qu’en réalité il n’était pas plus dangereux pour la population générale que la grippe saisonnière.
4. Les masques de protection ont été rendus obligatoires parce qu’ils nous protégeraient à coup sûr, mais de nombreuses études, dont une du CDC, ont prouvé qu’ils ne fonctionnaient pas.
5. Les mesures de confinement auraient permis d’enrayer la propagation, mais ce n’est pas le cas et, pire encore, elles ont mis un terme à l’éducation de nos enfants.

Le mensonge le plus flagrant des CDC était que les injections d’ARNm étaient sûres et efficaces. Une masse de données montre exactement le contraire : elles étaient médicalement nocives et ne protégeaient pas.
Cela fait au moins six fois que les CDC ont crié “au loup” au sujet de COVID, à tort, en 2020 et 2021.

Les CDC ont menti au public, à plusieurs reprises, et ont tenté de le dissimuler en pratiquant une censure agressive, en supprimant les données contraires et en annulant les avis défavorables.

La crédibilité du CDC était en lambeaux.

Comment les CDC ont-ils réagi ?

– En 2022, ils ont redoublé d’efforts en nous effrayant avec une nouvelle pandémie, la variole du singe.

Heureusement, la nouvelle menace de santé publique du CDC a été rapidement démentie par de nombreux experts avant qu’elle ne devienne un discours officiel et vicieusement protégé par Washington.

La crédibilité des CDC est tombée au plus bas.

– En 2023, les CDC ont lancé des avertissements concernant la résurgence du COVID et ont exhorté tous les Américains à se faire vacciner. À ce stade, nombreux sont ceux qui ont pris conscience des avertissements fictifs des CDC.

Plus de la moitié de la population a dit “pas question” et surtout “ne vous avisez pas de vacciner mon enfant“.

– Aujourd’hui, le CDC effraie la population avec 143 cas de maladies à méningocoques, écrivant que “les maladies à méningocoques ont un taux de mortalité de 10 à 15 %“, tout en admettant dans la même phrase qu’elles sont “rares“.

Qu’est-ce que le public est le plus susceptible de retenir du communiqué officiel des CDC ? “taux de mortalité” ou “rare” ?

Les CDC et l’ensemble de l’Establishment médical de Washington, y compris les NIH, la FDA et la Maison Blanche, ont perdu toute crédibilité auprès des Américains.

Une fois perdue, la confiance ne peut être rétablie, ou pas facilement, et certainement pas s’ils continuent de mentir.

Cette perte de confiance dans les autorités fédérales est inquiétante à la fois pour le public et pour les prestataires de soins.

Les médecins avaient l’habitude de dépendre des CDC et de la FDA pour obtenir des données médicales précises, non pas des mandats cliniques, mais simplement des données précises et fiables.

Lorsque le CDC ajoute les vaccins COVID au calendrier de vaccination pédiatrique standard, alors que les enfants ne sont pas en danger à cause du COVID mais sont en danger à cause des vaccins, le CDC détruit la confiance des médecins.

Lorsque la FDA empêche les médecins d’administrer un traitement utile et sûr contre le COVID, l’ivermectine, les bureaucrates fédéraux pratiquent la médecine et le font mal.